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LES POÉSIES D'ANAGALLIS
25 octobre 2013

L'AMOUR SIMPLE COMME LE VENT

 

 

Christian-Schloe_digital_artodyssey-36

 

 

 

 

 

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J'ai erré le long des routes.

J’ai cherché partout.

J'ai visité des églises de tous noms,

Mais je n'ai rien trouvé.

Alors, dépitée, je suis allée m'asseoir près d'un arbre,

Là, j'ai senti un regard sur moi.

Me sentant observée, je me suis levée.

Puis, je me suis dirigée vers la plage.

Assise sur le sable, je regardais la mer, le cœur attristé.

 Mon esprit se mit alors à divaguer :

"Vois la mer élément vivant de ma création, elle est à mon service,

Elle révèle combien l'homme est fragile, la mer chante mes louanges, elle bondit, mugit,

Elle monte au ciel, puis s'apaise.

Elle, n'a pas de secret pour moi, je connais l'orgueil de ses flots. 

Je la domine et elle m'obéit. "

Je compris alors, que ma route s'arrêtait là.

Je l'avais enfin trouvé Lui le Divin,

Le D.ieu qui a fait le monde et tout ce qu'il renferme,

Étant le Seigneur du ciel et de la terre,

Qui n'habite point dans des temples faits de main d'homme. 

Il était là partout autour de moi,

Dans toute sa création.

C'est là, que je le sens, c'est là que je peux le louer,

Il a voulu que je le cherche,

Que je m'efforce de le trouver en tâtonnant, 

Il n'était pas loin de moi

Et toujours son regard fixe sur moi !

Anagallis

 

Copyright © www.mon-poeme.fr 2011

 

 

Sans titre 3

 

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