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LES POÉSIES D'ANAGALLIS
18 février 2014

MYRIEMN (Marie)

 

 

HEBREU

 

 

MYRIEMN

(Marie)

Elle n’avait rien d’une reine.

Sur elle ni, or ni diadème,

Juste un foulard pour cacher les larmes de son désespoir.

Elle avait ce regard perdu du peuple exilé,

Et la voilà bousculée parmi la foule ne sachant que faire,

Son cœur en prière, elle essuie de son tsaïf le sang de son enfant.

Elle n’a rien demandé petite Marie, ni gloire, ni honneur.

« Tu es bénie Marie entre toutes les femmes

Et le fruit de tes entrailles est béni ».

Qu’ont-ils fait de toi petite Marie ?

Tu resteras cette femme humble de cœur et d’esprit,

Revêtue de la robe du salut et de la couronne d’humilité.

Tu as été choisie par D.ieu

Pour porter en ton sein, le Roi des rois,

Restant une femme parmi toutes les autres femmes.

« Femme qu’y a-t-il entre toi et moi ? »

Le sacrifice de ton fils au poteau a également été pour toi

Petite Marie.

Anagallis

 


Copyright © www.mon-poeme.fr 2011

 

 

 

 

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