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LES POÉSIES D'ANAGALLIS
9 août 2013

EPOUSAILLES AU YARDENIT

 

 

Il nous faut laisser D.ieu nous mener au-delà de notre vision de la réalité.

Nous sommes paralysés du fait que nous voyons tout à travers le prisme du temps

et de l’espace, ce qui veut dire que nous ne pouvons jamais vraiment dépasser l’enveloppe physique qui abrite la réalité spirituelle…

(Jérusalem Plus – Terre Promise) 

 

 

Sans titre 2

 

 

 

Sans titre 3

 

Cantique des cantiques   

2-16 mon Bien-aimé est à moi et je suis à lui.

C’était le lieu que tu avais choisi.

C’était un matin du 24 Iyar, le second mois,

Le seizième jour du mois de mai où la nature pleure son émoi.

Pour nos épousailles, tu me guidas jusqu'au Jourdain.

Tu me couvris, d’une robe d’un blanc pur de fin lin

Et tu entouras ma tête d’un turban.

Dans la rivière de la peine et de mon jugement

Je me suis immergé, laissant au fond se noyer mes péchés.

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Tu mis à mon doigt l’anneau nuptial comme un lien sacré.

Le soleil rayonnait de son pur éclat,

Faisant danser l'olivier et l'acacia.

La rivière emportait les poissons dans son calme courant,

Symbole de ton peuple dans la Tora se baignant.

Le prophète annonce que de la maison de l’Éternel, une source jaillira ;

Elle arrosera toute la vallée de sittim.

Dans les lieux les plus tristes et désolés, il n’y aura plus d’abîmes.

Vole mon âme vers ton Bien-aimé,

Celui qui t’a marié.

C’est l’éclat du ciel au-dessus de ta tête,

Là où les anges sont en fête.

Tu es D.ieu, mon guérisseur,

En ce jour d’Iyar, tu me donnas la vie et le bonheur.

 

 

Sans titre 4

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